Mettons fin au scandale des « mineurs non accompagnés » !
Sujet occulté par les responsables politiques, alors qu’il impacte les budgets des collectivités et la vie de nos compatriotes.
Le coût de la prise en charge (par le contribuable) d’un « mineur non accompagné » s’élève en moyenne à 50 000€ par « mineur » et par an. Le coût total au niveau national pour 2019 était de 2 milliards d’euros, 2,5 milliards en 2020, probablement 3 milliards en 2021 (Institut Montaigne).
Récemment, un rapport parlementaire a plaidé pour la fin de l’accueil des « mineurs isolés ». Il y en aurait plusieurs dizaines de milliers en France. Il est préconisé de mettre fin à l'accueil de ces « mineurs » dans des hôtels mis à disposition des collectivités ou encore de rendre obligatoire la prise d'empreintes digitales. Des « mineurs isolés étrangers » ont aussi commis des actes de délinquance.
Le terme de « mineurs isolés » comporte en lui-même deux mensonges.
D’une part, ce ne sont pas des « mineurs ». L’évaluation de la minorité est déficiente. 70% de ces « mineurs » sont en réalité des majeurs : c’est même 80% pour M. Thieriot, ex-président du Conseil départemental de la Marne.
Rappelons que l’auteur des coups de hachoir devant les anciens locaux de Charlie Hebdo le 25 septembre 2020, Zaheer Hassan Mahmood, était un faux « mineur isolé » de 23 ans et était pris en charge aux frais du contribuable.
D’autre part, ils ne sont pas « isolés » : « Il existe des filières organisées dont on ne cherche pas le démantèlement » (rapport sénatorial du 28 juin 2017). Un business très juteux puisque la « facturation » du passage en Europe d’un majeur est estimée entre 7000€ et 9000€, jusqu’à 15 000€ pour un mineur.
Le Sénat relevait que « le phénomène des « mineurs non accompagnés » semble plutôt relever de la recherche d’opportunités économiques que de la fuite de conflits armés ». Ces « mineurs » qui sont en réalité des majeurs, viennent d’Afrique de l’Ouest, du Maghreb, d’Asie centrale et du sud. Dans leur écrasante majorité, ils ne fuient pas la guerre (Institut Montaigne). Et ce sont quasi-exclusivement des hommes.
Les responsables politiques doivent arrêter d’être de grands naïfs.
Nous n’avons pas à cautionner ce genre de dérives qui grèvent nos finances, et qui font vivre nos compatriotes dans toujours plus d’insécurité. Nos responsables politiques doivent penser avant tout à l’intérêt des Français !
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Alban HEUSÈLE et Thierry DUCROUX