Immigration, des actes, vite !
Dimanche 13 octobre, nous étions présents à la cérémonie, devant le Beffroi, rendant hommage à Dominique Bernard, professeur de lettres, assassiné par un terroriste islamiste (des élus ne réussissent pas encore à nommer l’ennemi qui nous désigne) devant le collège-lycée Gambetta il y a tout juste un an.
Dominique Bernard a été victime de l’islamisme comme tant d’autres… Nous pensons notamment à Samuel Paty assassiné dans des conditions comparables.
A l’époque, nous dénoncions, en Conseil municipal, un gouvernement dont le premier réflexe avait été de se dérober à ses devoirs et qui avait sombré dans une faillite morale, sécuritaire et politique.
Cette attaque aurait pu être évitée. La famille du terroriste n’aurait pas dû être sur notre territoire. L’auteur des faits et sa famille avaient des sympathies islamistes et étaient connus de nos services de sécurité. Cette famille aurait dû être expulsée dès 2014. Fiché S pour radicalisation, le terroriste aurait dû être expulsé.
Nous avions ainsi rappelé que la responsabilité était politique. Plutôt que les beaux discours et les bougies…, pour lutter efficacement contre le terrorisme islamiste, nous avions prôné notamment l’expulsion des étrangers fichés S pour radicalisation, et plus généralement la maîtrise de l’immigration.
Mais aujourd’hui, force est de constater que l’actualité révèle une fois encore les failles de notre politique d’immigration.
Concernant l’assassinat de Philippine, son meurtrier présumé est un clandestin sous OQTF récidiviste déjà condamné qui n’aurait pas dû se trouver sur notre sol. L’État n’a pas su la protéger, comme il ne l’avait pas fait non plus pour la petite Lola, le prêtre Olivier Maire en Vendée en 2021 ou encore Laura et Mauranne à la gare Saint-Charles de Marseille. L’une des raisons : la France est le pays où le taux d’exécution des OQTF est l’un des plus faibles d’Europe : 7% en 2022.
Le point commun de tous ces drames est la présence sur notre sol d’étrangers détestant nos valeurs et profitant de notre attractivité sociale.
Qu’attendons-nous pour appliquer la double peine, instaurer des peines minimales automatiques dès la première condamnation ?
Qu’attendons-nous pour reprendre le contrôle de notre politique migratoire en réinstaurant le délit de séjour irrégulier et la double frontière (nationale et européenne) ?
Nos compatriotes réclament des actes !
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Alban HEUSÈLE et Thierry DUCROUX